En économie, une déséconomie d'échelle se produit lorsqu'une entreprise est devenue si grande que ses coûts par unité commenceront à augmenter. Ainsi, perdre les avantages d'échelle. Cela peut se produire en raison de plusieurs facteurs survenant à mesure qu'une entreprise évolue. Des problèmes de coordination aux inefficacités de gestion et au manque de flux de communication appropriés.
Table des matières
Différence entre économies et déséconomies d'échelle
En économie, les économies d'échelle sont une théorie selon laquelle, à mesure que les entreprises se développent, elles obtiennent des avantages en termes de coûts.
Plus précisément, les entreprises parviennent à bénéficier de ces avantages de coûts au fur et à mesure de leur croissance, grâce à une efficacité accrue de la production.
Ainsi, à mesure que les entreprises évoluent et augmentent leur production, une diminution ultérieure des coûts qui y sont associés aidera l'organisation à évoluer davantage et plus efficacement.
Les déséconomies d'échelle représentent plutôt le phénomène opposé.
Lorsqu'une entreprise est devenue trop grande, le coût unitaire augmente, ce qui fait que l'entreprise n'est plus en mesure de bénéficier de l'échelle qu'elle a atteinte.
Les déséconomies d'échelle peuvent se produire pour diverses raisons qui peuvent aller de l'incapacité de l'organisation à continuer à organiser ses ressources de manière efficace (en raison, par exemple, d'un trop grand nombre d'employés).
Lorsque les déséconomies d'échelle s'accentuent, l'entreprise aura des coûts marginaux plus élevés pour chaque unité de production supplémentaire.
Ainsi, l'une des principales conséquences des déséconomies d'échelle est une augmentation significative des coûts de coordination et une réduction drastique des avantages de la mise à l'échelle.
Exemples de déséconomies d'échelle
Pourquoi les entreprises connaissent-elles des déséconomies d'échelle ? Les économistes soutiennent que plusieurs raisons pourraient provoquer cela :
Problèmes de coordination
À mesure qu'une entreprise devient trop grande, elle a besoin de plus de services administratifs, de divisions et de direction.
Lorsqu'une grande organisation devient trop hiérarchique, la centralisation peut l'empêcher d'être efficace.
Par conséquent, cela pourrait ralentir la production et la fabrication.
Inefficacités de la gestion
Comme l'entreprise a besoin de plus de gestion au fur et à mesure de sa croissance, cela pourrait également ralentir les processus de prise de décision.
Difficultés à maintenir un flux de communication fluide
Les coûts de communication peuvent augmenter de façon exponentielle avec la taille de l'organisation.
Et lorsque l'organisation devient trop grande, ces coûts peuvent également influencer la production et le coût par unité de production.
Il est essentiel de repenser la théorie des déséconomies d'échelle à mesure que les entreprises numériques parviennent à tirer parti des nouvelles modèles d'affaires.
Déséconomies d'échelle dans le monde des affaires numériques
Alors que nous parlons de déséconomies d’échelle dans le monde des affaires physique, une question clé à se poser est de savoir si le monde des affaires numérique est à l’abri de ces déséconomies d’échelle.
Pour combien nous aimerions croire (en tant qu'entrepreneurs numériques) qu'une entreprise numérique a une évolutivité illimitée, en réalité, ce n'est pas le cas.
Empreinte modèles d'affaires peuvent être classés de diverses manières. Et pour le bien de la recherche sur FourWeekMBA, nous avons établi une telle classification :
Numérique et technologie modèles d'affaires peuvent être classés selon quatre niveaux de transformation en technologies numériques, améliorées numériquement, technologiques ou plateforme les modèles commerciaux et les plateformes/écosystèmes commerciaux.
En effet, la plateforme modèle d'affaires est devenu l'un des modèles déterminants de l'ère numérique, car ils se concentrent sur l'entretien d'un écosystème d'entreprise, plutôt que sur la simple création d'un produit final.
Des exemples de ceux-ci comprennent Amazon (la mère de toutes les plates-formes), Airbnb, Uber et bien d'autres.
Un exemple de cela est Apple, qui, en combinant le matériel (iPhone), le système d'exploitation (iOS) et le marché (App Store) a créé un écosystème commercial de plusieurs billions.
Toutefois, plateforme les modèles commerciaux, et encore moins les écosystèmes commerciaux, sont les types d'entreprises les plus difficiles à créer.
En effet, Apple a probablement été l'entreprise qui a réussi à construire un écosystème commercial qui, comme vous l'avez vu, pourrait bien valoir quelques billions de dollars.
De la même manière, la plate-forme modèles d'affaires sont également difficiles à lancer, à faire évoluer et à entretenir.
En fait, quelques entreprises parviennent à traduire leurs activités en plateformes, et la plupart restent des acteurs du commerce numérique, où le côté numérique valorise marketing, distribution, et en partie la proposition de valeur.
Et c'est très bien, car beaucoup de ces numériques modèles d'affaires sont extrêmement viables, car les plates-formes nécessitent d'énormes quantités de ressources pour être mises à l'échelle.
C'est parce que lors du lancement d'un plateforme modèle d'entreprise, vous avez quelques problèmes insurmontables :
Par où commencer pour créer une dynamique ? Est-ce du côté de la demande ou du côté de l'offre ? C'est ce qu'on appelle le problème de la poule et de l'œuf, ou problème de démarrage à froid.
Comment démarrez-vous effets de réseau? En d'autres termes, comment faites-vous le plateforme suffisamment précieux pour permettre l'élan et la première étape de mise à l'échelle ?
En effet, dans le monde des affaires numériques, effets de réseau sont ce que nous avons de plus proche des économies d'échelle.
As effets de réseau coup de pied, le plateforme prend de l'ampleur, et son économie unitaire commence à avoir un sens, comme le plateforme peut atteindre une plus grande échelle à moindre coût.
Pourtant, non seulement lancer ces effets de réseau est difficile.
Il est également difficile de les maintenir – une fois qu'un certain niveau d'échelle – est atteint.
Dans cet esprit, nous pouvons désormais jeter les bases entre les déséconomies d'échelle et ce que, dans le monde des affaires numériques, nous appelons effets de réseau négatifs.
Déséconomies d'échelle et effets de réseau négatifs
En tant que plateforme modèle d'affaires, le principal atout est son réseau, qui permet à des milliers de consommateurs et de producteurs de se connecter, d'interagir, de transiger et d'échanger.
Ces plates-formes peuvent évoluer rapidement et efficacement (à condition qu'elles puissent lancer ces effets de réseau et passer par le problème de démarrage à froid).
Ainsi, ils pourraient réussir à s'emparer de parts de marché proches du total, par rapport aux entreprises linéaires, qui sont plutôt affectées par les déséconomies d'échelle au fur et à mesure de leur croissance.
C'est ainsi que se déroule l'histoire. Mais est-ce vrai ?
C'est vrai qu'en partie le numérique modèles d'affaires pourrait être proche de gagner des parts majoritaires sur un marché.
Mais il est également vrai que les barrières à l'entrée dans le monde des affaires numériques pourraient être plus faciles à éliminer.
En bref, alors que les déséconomies d'échelle peuvent affecter les entreprises linéaires, la plate-forme modèles d'affaires peut-être pas à l'abri de ça !
Inverser les effets de réseau, la congestion et lorsque les plates-formes évoluent trop rapidement
Alors que de nombreux attributs aux plates-formes modèles d'affaires la capacité à évoluer à un niveau indéfini, en réalité, les plates-formes bénéficient également des conséquences négatives de l'échelle, appelées inverse ou effets de réseau négatifs.
Dans un effet de réseau négatif à mesure que le réseau grandit en termes d'utilisation ou d'échelle, la valeur du plateforme pourrait rétrécir. Dans plateforme modèles d'affaires effets de réseau aider le plateforme deviennent plus précieux pour le prochain utilisateur qui se joint. En négatif effets de réseau (congestion ou pollution) réduisent la valeur du plateforme pour le prochain utilisateur qui se joint.
Tout comme les déséconomies d'échelle s'emparent d'entreprises physiques plus traditionnelles.
Inverser effets de réseau peut causer des dommages substantiels aux plates-formes.
Prenons le cas, d'un plateforme qui évolue si rapidement avec le contenu généré par l'utilisateur, qu'à mesure qu'il évolue, le risque de générer du mauvais contenu à grande échelle augmente de façon exponentielle.
Il y a un seuil où cela devient un vrai problème et le plateforme lui-même pourrait en fait s'effondrer !
Études de cas
Déséconomies d’échelle dans les entreprises traditionnelles:
Grande usine de fabrication: Une usine qui devient trop grande peut souffrir de problèmes de coordination, entraînant des inefficacités de production et une augmentation des coûts par unité.
Bureaucratie d'entreprise: Les grandes entreprises disposent souvent de structures hiérarchiques étendues qui peuvent ralentir les processus de prise de décision, entraînant des inefficacités de gestion.
Frais généraux de communication: Dans une grande organisation, le coût du maintien d'une communication et d'une collaboration efficaces entre les départements et les équipes peut augmenter considérablement, affectant la productivité.
Gestion des employés: À mesure qu'une entreprise se développe, la gestion d'un effectif important peut devenir difficile, ce qui peut entraîner une augmentation des coûts de main-d'œuvre et une réduction de l'efficacité.
Complexité de la chaîne d'approvisionnement: L'expansion à l'échelle mondiale peut introduire des complexités dans la chaîne d'approvisionnement, entraînant des retards, des coûts de transport plus élevés et des problèmes de coordination.
Effets de réseau négatifs dans le secteur numérique:
Spam sur les réseaux sociaux: Sur les plateformes de médias sociaux, une croissance rapide du nombre d'utilisateurs peut entraîner une augmentation du spam ou du contenu de mauvaise qualité, diminuant ainsi l'expérience utilisateur et la valeur de la plateforme.
Les marchés en ligne: Les plateformes de commerce électronique peuvent souffrir effets de réseau lorsqu’un afflux de vendeurs entraîne une concurrence accrue, réduisant potentiellement la qualité des produits et la confiance dans le marché.
Services de covoiturage: Les plateformes de covoiturage comme Uber peuvent subir une pollution du réseau si trop de conducteurs inondent la plateforme, ce qui entraîne une diminution des revenus des conducteurs et un service moins attractif pour les passagers.
Contenu généré par l'utilisateur: Les plateformes de partage de contenu peuvent rencontrer des effets de réseau à mesure qu’ils grandissent, avec un risque accru de désinformation, de discours de haine ou de contenu inapproprié.
Communautés en ligne: Les forums et communautés Internet peuvent perdre de leur valeur à mesure qu'ils se développent, avec un risque de diminution de l'engagement et d'afflux de spam.
Relever les défis des modèles commerciaux de plateforme:
Les marchés en ligne: Les plateformes de commerce électronique qui se développent rapidement peuvent avoir du mal à maintenir un contrôle de qualité, ce qui conduit à des produits contrefaits et à des expériences client négatives.
Réseaux de médias sociaux: À mesure que les plateformes de médias sociaux se développent, elles sont confrontées à des défis pour modérer le contenu, lutter contre les faux comptes et assurer la sécurité des utilisateurs.
Économie de partage: Des sociétés comme Airbnb et sa croissance rapide ont suscité des inquiétudes concernant la pénurie de logements et l'augmentation des loyers dans certaines villes, mettant en évidence les impacts négatifs potentiels.
Streaming de contenu: Les plateformes de streaming comme Netflix peuvent rencontrer des difficultés en matière de découverte de contenu à mesure que leurs bibliothèques se développent, ce qui rend plus difficile pour les utilisateurs de trouver du contenu intéressant.
App Stores: Les marchés d'applications peuvent souffrir d'une surpopulation, ce qui rend difficile pour les nouvelles applications de gagner en visibilité et en succès, malgré leur qualité.
Points clés
En économie, les économies d'échelle sont réalisées lorsque les entreprises peuvent bénéficier d'un degré d'efficacité plus élevé et de coûts structurels les plus bas à mesure qu'elles évoluent.
Atteint un seuil d'échelle, des déséconomies d'échelle peuvent se déclencher, et peut-être que la taille est plutôt un avantage qu'elle devient un facteur de risque et inefficace. C'est ce qui se passe lorsque les économies d'échelle entrent en jeu.
Dans le monde numérique, il y a un effet similaire grâce à effets de réseau qui permettent aux plates-formes d'évoluer en taille.
Alors que beaucoup pensent que les plateformes modèles d'affaires sont insensibles à l'échelle et peuvent croître indéfiniment. En réalité, aussi pour plateforme modèles économiques, négatifs effets de réseau peut entrer en action, provoquant ainsi une plateforme perdre de la valeur, sinon s'effondrer de lui-même à l'envers effets de réseau.
Points saillants sur les déséconomies d’échelle et les effets de réseau négatifs :
Déséconomies d'échelle définies: En économie, les déséconomies d'échelle se produisent lorsqu'une entreprise devient trop grande, entraînant une augmentation de ses coûts unitaires, perdant ainsi les avantages d'échelle. Ce phénomène peut résulter de divers facteurs, tels que des problèmes de coordination, des inefficacités de gestion et des ruptures de communication.
Économies et déséconomies d’échelle contrastées: Les économies d'échelle font référence aux avantages de coûts obtenus à mesure que les entreprises se développent et deviennent plus efficaces dans leur production. En revanche, les déséconomies d’échelle représentent le phénomène inverse, dans lequel les grandes entreprises voient leurs coûts unitaires augmenter, ce qui diminue leurs avantages liés à l’échelle.
Causes des déséconomies d’échelle: Plusieurs facteurs peuvent conduire à des déséconomies d’échelle, notamment :
Problèmes de coordination dus à une complexité organisationnelle accrue.
Inefficacités de la gestion, entraînant un processus décisionnel plus lent.
Défis liés au maintien de flux de communication fluides.
Augmentation des coûts marginaux pour chaque unité de production supplémentaire.
Entreprise numérique et déséconomies d’échelle: Si les entreprises numériques mettent souvent l’accent sur l’évolutivité, elles ne sont pas entièrement à l’abri des déséconomies d’échelle. Numérique modèles d'affaires peut éprouver du négatif effets de réseau, qui s’apparentent à des déséconomies d’échelle.
Classification des modèles commerciaux numériques: Numérique modèles d'affaires peut être classé en différents niveaux de transformation numérique, du numérique à la plateforme modèles d'affaires et les écosystèmes commerciaux, en fonction du degré d’intégration numérique.
Modèles commerciaux de plate-forme: Les modèles économiques de plateformes, comme ceux d’Amazon, Airbnb et Uber, visent à créer des écosystèmes commerciaux. Ces plates-formes peuvent être très précieuses, mais sont également difficiles à créer et à maintenir en raison de effets de réseau.
Effets de réseau négatifs: Sur les plateformes numériques, des effets de réseau négatifs peuvent se produire à mesure que le réseau se développe. Ces effets comprennent :
La congestion du réseau, où une utilisation accrue réduit plateforme valeur.
Pollution du réseau, où une mise à l’échelle rapide conduit à la génération de contenus de mauvaise qualité ou nuisibles.
Défis d’évolutivité de la plateforme: Même si les plateformes peuvent évoluer rapidement et atteindre une part de marché significative, elles peuvent également être confrontées à des problèmes d’évolutivité liés aux effets de réseau négatifs. Une croissance excessive sans relever ces défis peut conduire à une diminution plateforme valeur, voire s'effondrer.
L'idée d'une économie de marché est d'abord venue des économistes classiques, dont David Ricardo, Jean-Baptiste Say et Adam Smith. Ces trois économistes étaient des partisans d'un marché libre. Ils ont fait valoir que la «main invisible» des incitations du marché et des motivations de profit était plus efficace pour guider les décisions économiques vers la prospérité qu'une planification gouvernementale stricte.
L'économie positive s'intéresse à la description et à l'explication des phénomènes économiques ; il est basé sur des faits et des preuves empiriques. L'économie normative, quant à elle, s'attache à porter des jugements sur ce qui « devrait être » fait. Il contient des jugements de valeur et des recommandations sur la façon dont l'économie devrait être.
Lorsqu'il y a une augmentation du prix des biens et des services sur une longue période, on parle d'inflation. En ces temps, la monnaie montre moins de potentiel pour acheter des produits et des services. Ainsi, les prix généraux des biens et services augmentent. Par conséquent, la baisse du pouvoir d'achat de la monnaie est appelée inflation.
L'information asymétrique en tant que concept existe probablement depuis des milliers d'années, mais elle est devenue courante en 2001 après que Michael Spence, George Akerlof et Joseph Stiglitz ont remporté le prix Nobel d'économie pour leurs travaux sur l'asymétrie de l'information sur les marchés des capitaux. L'information asymétrique, également connue sous le nom d'asymétrie de l'information, se produit lorsqu'une partie à une transaction commerciale a accès à plus d'informations que l'autre partie.
Autarcie vient des mots grecs autos (soi) et arkein (suffire) et décrit essentiellement un état général d'autosuffisance. Cependant, le terme est le plus couramment utilisé pour décrire le système économique d'une nation qui peut fonctionner sans le soutien des systèmes économiques d'autres nations. L'autarcie est donc un système économique caractérisé par l'autosuffisance et des échanges limités avec des partenaires internationaux.
L'économie du côté de la demande fait référence à la conviction que la croissance économique et le plein emploi sont tirés par la demande de produits et de services.
La destruction créatrice a été décrite pour la première fois par l'économiste autrichien Joseph Schumpeter en 1942, qui a suggéré que le capital n'était jamais stationnaire et en constante évolution. Pour décrire ce processus, Schumpeter a défini la destruction créatrice comme « le processus de mutation industrielle qui révolutionne sans cesse la structure économique de l'intérieur, détruisant sans cesse l'ancienne, en créant sans cesse une nouvelle ». Par conséquent, la destruction créatrice est le remplacement de pratiques ou de procédures de longue date par des pratiques plus innovantes et perturbatrices sur les marchés capitalistes.
L'économie du bonheur cherche à relier les décisions économiques à des mesures plus larges du bien-être individuel que les mesures traditionnelles qui se concentrent sur revenu et la richesse. L'économie du bonheur est donc l'étude formelle des relation amoureuse entre la satisfaction individuelle, l'emploi et la richesse.
Un oligopsone est une forme de marché caractérisée par la présence d'un petit nombre d'acheteurs seulement. Ces acheteurs ont un pouvoir de marché et peuvent baisser le prix d'un bien ou d'un service en raison d'un manque de concurrence. En d'autres termes, le vendeur perd son pouvoir de négociation car il est incapable de trouver un acheteur en dehors de l'oligopsone qui soit prêt à payer un meilleur prix.
Le terme « esprits animaux » est dérivé du latin spiritus animalis, vaguement traduit par « le souffle qui éveille l'esprit humain ». Dès 300 av. J.-C., les esprits animaux étaient utilisés pour expliquer des phénomènes psychologiques tels que les hystéries et les manies. Les esprits animaux sont également apparus dans la littérature où ils ont illustré des qualités telles que l'exubérance, la gaieté et le courage. Ainsi, le terme "esprits animaux" est utilisé pour décrire comment les gens arrivent à la traduction de documents financiers décisions en période de tension économique ou d'incertitude.
Le capitalisme d'État est un système économique où d'affaires et l'activité commerciale est contrôlée par l'État par le biais d'entreprises publiques. Dans un environnement capitaliste d'État, le gouvernement est l'acteur principal. Il joue un rôle actif dans la formation, la réglementation et le subventionnement des entreprises pour détourner les capitaux vers les bureaucrates nommés par l'État. En effet, le gouvernement utilise le capital pour poursuivre ses ambitions politiques ou renforcer son influence sur la scène internationale.
Le cycle d'expansion et de récession décrit les périodes alternées de et déclin commun dans de nombreuses économies capitalistes. Le cycle d'expansion et de récession est une expression utilisée pour décrire les fluctuations d'une économie caractérisée par une expansion et une contraction persistantes. L'expansion est associée à la prospérité, tandis que la contraction est associée soit à une récession, soit à une dépression.
Le paradoxe de l'épargne a été popularisé par l'économiste britannique John Maynard Keynes et est un élément central de l'économie keynésienne. Les partisans de l'économie keynésienne croient que la réponse appropriée à une récession est plus de dépenses, plus de prise de risques et moins d'épargne. Ils croient également que les dépenses, autrement connues sous le nom de consommation, stimulent la croissance économique. Le paradoxe de l'épargne est donc une théorie économique qui soutient que l'épargne personnelle est un frein net à l'économie en période de récession.
En termes simplistes, le modèle de flux circulaire décrit l'échange d'argent mutuellement bénéfique entre les deux parties les plus vitales d'une économie : les ménages, les entreprises et la façon dont l'argent circule entre eux. Le modèle de flux circulaire décrit l'argent comme il se déplace à travers divers aspects de la société dans un processus cyclique.
Les déficits commerciaux se produisent lorsque les importations d'un pays dépassent ses exportations sur une période donnée. Les experts appellent également cela une balance commerciale négative. La plupart du temps, les balances commerciales sont calculées en fonction de différentes catégories.
Un type de marché est une manière dont un groupe donné de consommateurs et de producteurs interagit, en fonction du contexte déterminé par la volonté des consommateurs à comprendre le produit, la complexité du produit ; quelle est la taille du marché existant et combien il peut potentiellement se développer à l'avenir.
La théorie du choix rationnel stipule qu'un individu utilise des calculs rationnels pour faire des choix rationnels qui correspondent le mieux à ses préférences personnelles. La théorie du choix rationnel fait référence à un ensemble de lignes directrices qui expliquent le comportement économique et social. La théorie repose sur deux hypothèses sous-jacentes, qui sont la complétude (les individus ont accès à un ensemble d'alternatives parmi lesquelles ils peuvent également choisir) et la transitivité.
L'économie peer-to-peer (P2P) est une économie où les acheteurs et les vendeurs interagissent directement sans avoir besoin d'un tiers intermédiaire ou d'une autre entreprise. L'économie de pair à pair est une modèle d'affaires où deux personnes achètent et vendent directement des produits et des services. Dans une entreprise peer-to-peer, le vendeur a la possibilité de créer lui-même le produit ou de proposer le service.
Le terme « économie du savoir » a été inventé pour la première fois dans les années 1960 par Peter Drucker. Le consultant en gestion a utilisé le terme pour décrire le passage des économies traditionnelles, où l'on dépendait de la main-d'œuvre non qualifiée et de la production primaire, à des économies dépendantes des industries de services et des emplois nécessitant plus de réflexion et d'analyse de données. L'économie du savoir est un système de consommation et de production fondé sur des activités à forte intensité de savoir qui contribuent à l'innovation scientifique et technique.
Dans une économie dirigée, le gouvernement contrôle l'économie par le biais de divers commandements, lois et objectifs nationaux qui sont utilisés pour coordonner des systèmes sociaux et économiques complexes. En d'autres termes, une hiérarchie sociale ou politique détermine ce qui est produit, comment il est produit et comment il est distribué. Par conséquent, l'économie dirigée est celle dans laquelle le gouvernement contrôle tous les aspects majeurs de l'économie et de la production économique.
Comment protégez-vous vos droits en tant que travailleur? Qui est là pour vous aider à vous défendre contre des conditions de travail déloyales et injustes? Ces deux questions ont une réponse, et c'est une solution que beaucoup connaissent. La réponse est un syndicat. De la construction à l'enseignement, il existe des syndicats pour à peu près n'importe quel domaine de travail.
Le bas de la pyramide est un terme décrivant le groupe socio-économique mondial le plus grand et le plus pauvre. Franklin D. Roosevelt a utilisé pour la première fois le bas de la pyramide (BOP) dans un discours public de 1932 pendant la Grande Dépression. Roosevelt a noté que - en parlant de "l'homme oublié" : "ces temps malheureux appellent à la construction de plans qui reposent sur les oubliés, les unités non organisées mais indispensables du pouvoir économique.. qui se construisent de bas en haut et non à partir du du haut vers le bas, qui redonnent foi à l'homme oublié au bas de la pyramide économique.
La glocalisation est un portemanteau des mots « mondialisation » et « localisation ». Il s'agit d'un concept qui décrit un produit ou un service développé et distribué à l'échelle mondiale qui est également ajusté pour convenir à la vente sur le marché local. Avec l'essor de l'économie numérique, les marques peuvent désormais se mondialiser en créant une empreinte locale.
La fragmentation du marché est le plus souvent observée dans les marchés en croissance, qui se fragmentent et se séparent du marché parent pour devenir des marchés autonomes avec différents produits et services. La fragmentation du marché est un concept suggérant que tous les marchés sont diversifiés et se fragmentent en groupes de clients distincts au fil du temps.
La reprise en forme de L fait référence à une économie qui décline fortement, puis stagne avec une croissance faible ou nulle. Sur un graphique traçant le PIB en fonction du temps, cette chute vertigineuse combinée à une longue période de stagnation ressemble à la lettre « L ». La reprise en forme de L est parfois appelée une récession en forme de L parce que l'économie ne revient pas à la croissance de la ligne de tendance. La reprise en forme de L est donc une forme de récession utilisée par les économistes pour décrire différents types de récessions et leurs reprises ultérieures. Dans une reprise en forme de L, l'économie se caractérise par une grave récession avec un chômage élevé et une croissance économique proche de zéro.
L'avantage comparatif a été décrit pour la première fois par l'économiste politique David Ricardo dans son livre Principles of Political Economy and Taxation. Ricardo a utilisé sa théorie pour argumenter contre les lois protectionnistes de la Grande-Bretagne qui restreignaient l'importation de blé de 1815 à 1846. L'avantage comparatif se produit lorsqu'un pays peut produire un bien ou un service pour un coût d'opportunité inférieur à celui d'un autre pays.
Le paradoxe d'Easterlin a été décrit pour la première fois par Richard Easterlin, alors professeur d'économie à l'Université de Pennsylvanie. Dans les années 1970, Easterlin a constaté que malgré la croissance de l'économie américaine au cours des décennies précédentes, le niveau moyen de bonheur observé chez les citoyens américains restait le même. Il a appelé cela le paradoxe d'Easterlin, où le revenu et le bonheur sont en corrélation jusqu'à ce qu'un certain point soit atteint après au moins dix ans environ. Après ce point, les niveaux de revenu et de bonheur ne sont plus significativement liés. Le paradoxe d'Easterlin stipule que le bonheur est positivement corrélé au revenu, mais seulement dans une certaine mesure.
En économie, les économies d'échelle sont une théorie selon laquelle, à mesure que les entreprises se développent, elles obtiennent des avantages en termes de coûts. Plus précisément, les entreprises parviennent à bénéficier de ces avantages de coûts au fur et à mesure de leur croissance, grâce à une efficacité accrue de la production. Ainsi, en tant que sociétés escaliers et augmenter la production, une diminution subséquente des coûts qui y sont associés aidera le organisationescaliers en outre.
En économie, une déséconomie d'échelle se produit lorsqu'une entreprise est devenue si grande que ses coûts par unité commenceront à augmenter. Ainsi, perdre les avantages d'échelle. Cela peut se produire en raison de plusieurs facteurs survenant à mesure qu'une entreprise évolue. Des problèmes de coordination à gestion les inefficacités et le manque de flux de communication appropriés.
Une économie de gamme signifie que la production d'un bien réduit le coût de production d'un autre bien connexe. Cela signifie que le coût unitaire de production d'un produit diminuera à mesure que la variété des produits manufacturés augmentera. Il est important de noter que les produits fabriqués doivent être liés d'une manière ou d'une autre.
La sensibilité aux prix peut être expliquée à l'aide de l'élasticité-prix de la demande, un concept en économie qui mesure la variation de la demande de produits lorsque le prix du produit lui-même varie. Dans le comportement des consommateurs, la sensibilité au prix décrit et mesure les fluctuations de la demande de produits à mesure que le prix de ce produit change.
Gennaro est le créateur de FourWeekMBA, qui a atteint environ quatre millions d'hommes d'affaires, comprenant des cadres de niveau C, des investisseurs, des analystes, des chefs de produit et des entrepreneurs numériques en herbe rien qu'en 2022 | Il est également directeur des ventes pour une mise à l'échelle de haute technologie dans l'industrie de l'IA | En 2012, Gennaro a obtenu un MBA international avec un accent sur la finance d'entreprise et la stratégie commerciale.
